Une réserve où nous retrouvons quelques vieux pommiers creux. Il offre un gîte idéal pour les oiseaux cavernicoles.
Tout savoir sur Aisomont
Le pré humide mésotrophe compose la réserve à plus de 60%. Le reste de celle-ci s’est reboisée par de nombreux feuillus indigènes.
Cette diversité de plantes offre la possibilité à de nombreux insectes d’y accomplir l’ensemble de leur cycle de vie. L’oreillard roux, la pipistrelle de Nathusius, la pipistrelle commune, la sérotine commune et diverses espèces de murins fréquente le site.
Nous y retrouvons les espèces des prés humides mésotrophes dont certaines des prés oligotrophes comme le sélin et la succise. La valériane officinale et le cirse des marais sont présents en très grand nombre. Nous retrouvons également une belle population de prêle.
Nous avons le projet de faire clôturer une partie de la réserve pour y mettre des bovins rustiques. Sans cette intervention, le terrain risque de se reboisé naturellement (dynamique naturelle des milieux ouverts chez nous). En se reboisant, ce sont de nombreuses espèces végétales ayant besoin de lumière qui risquent de disparaitre. Une collaboration avec un agriculteur local sera de mise.